Lettre de François Di Dio
Pino, le 14 août 1995
Mon cher Matthieu,
Ci-joint un éclat du Soleil noir en réponse à tes deux derniers livres avec lesquels je me suis senti profondément en plase et que je contresigne avec mon sang versé. Texte fervent d’Alberto Tomiolo en parfaite adéquation avec ta trajectoire. Je suis avec toi. Tout signe de toi me donne du courage et des forces.
Je t’embrasse fort.